Gaia monde de légende
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 vanyel fergusson

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AuteurMessage
Isil/Anar Lórindol
Future gardienne du temps
Isil/Anar Lórindol


Féminin
Nombre de messages : 608
orientation sexuel : Hybrides phenix
objet fétiche ? : Un colier qui représent..-La Lune...- Le soleil

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† Age †: 222 ans
♥ amour ♥: Nous sommes un... Personne ne peut se placer entre nous

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MessageSujet: vanyel fergusson   vanyel fergusson Icon_minitimeJeu 19 Juin - 8:14

Vanyel R. Fergusson

L'homme est un animal comme les autres !

♠~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~♠


Race : Humain
Nom :Fergusson
Prénom : Vanyel Rodya Lars
Âge : 33 ans
Origines : Américaine, avec des ancêtre écossais
Groupe : Humain opposant
Métier / Rang : vétérinaire

Avatar : Ewan Mcgregor

DESCRIPTION PHYSIQUE

Le jeune homme est affligé d'un boitement, suite a un coup de sabot sur sa jambe.


DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE
Comment décrire notre ami. Disons qu'en apparence, il est du genre ours, toujours à se taire et a écouté les autres. Il répond d'ailleurs plus souvent par un grondement que par une phrase complète, pour tout avouer, il ne voit pas l'intérêt de parler pendant des heures si c'est pour ne rien dire.

Solitaire, il l'est autant par choix que par la force des choses, allez savoir pourquoi il n'a jamais réussi à avoir une relation stable, sûrement parce qu'il est toujours en train de s'occuper de ces animaux plutôt que de sa petite amie du moment. Pourtant, ce n'est pas un mauvais homme, il est généreux et doux avec les enfants. Il fait, enfin faisait souvent des portes ouvertes pour les écoles où il les invitait dans son ranch thérapeutique.

Oui, le jeune homme a plus de profondeurs qu'il ne veut bien le montrer, il est assez fragile même s'il a une apparence un peu glacial. Parce que tout est là l'apparence, le jeune homme a bien vite compris qu'un homme qui semblait trop faible était une proie facile. Et lui, il ne veut pas être une proie. Il a donc appris à se taire et à rendre coup pour coup. Pourtant, au fond, il n'est pas vraiment violent. Non, il préfère la douceur pour régler les problèmes. Mais attention quand il se met en colère, il peut devenir assez violent, c'est ce qui lui fait peur cette violence rentrée, cette violence qu'il sent couvé en lui. Cela lui fait peur parce qu'il ne sait pas ce qu'elle donnera quand elle explosera.

Une autre raison fait que le jeune homme parle peu, depuis tout petit, il est affligé d'un bégaiement, s'il s'est atténué avec l'âge, cette particularité l'a marqué. En effet plus jeune, il a souvent été moqué à cause de cela. À présent, il prend le temps de réfléchir et d'articuler convenablement. Pour tout avouer, on le prend souvent pour plus bête qu'il n'est parce que justement, il parle très lentement.

Que dire de plus ? Que le jeune homme aime bien aller de temps en temps boire une bière bien fraîche dans une bar, qu'il aime bien aussi fumer quand il le peut. Et qu'il est du genre maladroit quand il ne pratique pas son métier. Par exemple, il est du genre à laisser brûler ses plats parce qu'il pense à autre chose.


BIOGRAPHIE
Toute histoire a un début et une fin... Celle de notre vétérinaire, commence avant sa naissance, à la rencontre de ces deux parents. Tous deux étaient des croyants de vrais croyants, de ceux qui croient à la fidélité et au mariage. Bref, les deux jeunes gens se marier et eurent un peu de mal à avoir leur premier enfant. Premier enfant qui n'était que Van, ce fut pour eux une fête, surtout quelque mois après la naissance de leur fils, la mère retomba enceinte. Mettant cette fois au monde une jolie petite fille. C'est donc une famille heureuse qui se construisit. Le père avait un métier stable, et la mère restait à la maison pour élever ces enfants. Bref tout était tranquille, les enfants étaient entourer d'amour et passer beaucoup de temps dans le ranch de leur grand-père, grand-père qui avait été vétérinaire et qui avait une tendance à recueillir tous les animaux blesser qu'il pouvait recueillir. Passion qu'il passa à son petit-fils. En effet, on ne compte plus le nombre d'animaux blesser ou perdus que le jeune Van' ramena à la maison. Se mettant des fois dans des situations un peu dangereuses, comme cette fois-là où il se retrouva coincer dans un arbre, il avait voulu porter secours à un chat qui en fait n'avait pas du tout besoin d'aide.

Enfin bref, le jeune homme allait sur ces six ans et sa sœur sur ces cinq ans quand sa mère retomba enceinte. Cela faisait pas mal de temps qu'elle voulait un nouvel enfant, elle était-ce genre de femme qui adorait avoir des bébés. La grosse pourtant fut un peu plus difficile que les autres. L'enfant naquit prématurément, ho il fut sauvé. Et il grandit, pourtant sa mère le couvait ne s'occupant presque plus des deux autres. Elle ne les accompagnait même plus à l'école. C'est Van' qui tenait sa sœur par la main pour la conduire et qui même devait penser régulièrement à leur faire leurs déjeuners.

Sa mère paniquait à chaque fois que leur petit frère toussait un peu. Heureusement pour les enfants, il avait encore leurs grands-parents qui s'occupaient beaucoup d'eux. Ils finirent d'ailleurs par habiter chez eux. Surement parce que leur mère sombra de plus en plus dans une dépression.

Le temps passa et le jeune homme entra dans une nouvelle école, ou il eut un peu de mal à se faire accepter, il dut subir les moqueries des autres. Et se battait souvent, revenant chez son grand-père avec des coups bleu un peu partout. De son côté, la mare de notre jeune homme sombrait un peu plus, elle avait l'impression que plus personne ne la regardais ne s'occupait d'elle. Et étrangement son fils dernier-né commença à tomber malade, des petites maladies, mais elle passait beaucoup de temps chez son médecin. Elle était heureuse que l'on s'occupe d'elle. Le pauvre tombait aussi souvent dans les escaliers ou se blessait...

Peu à peu les symptômes devenaient plus grave, plus douloureux, le plus jeune de ces enfants avait souvent des pertes de conscience, des tremblements.. Bref des troubles étrange pour un jeune enfant. Les médecins arrivaient chaque fois à aider l'enfant, mais il revenait toujours avec une maladie plus grave. C'est Van' qui un jour en rentrant de l'école remarqua que sa mère appliquait quelque chose sur la peau de son petit frère et que celui-ci se mettait à pleurer.

Une fois sa mère partit le jeune homme prit le produit pour aller le montrer à son grand-père, qui compris rapidement que quelque chose ne tournait pas rond. C'est lui qui alla voir le médecin de sa fille, et qui finit par remarquer qu'elle ne voyait beaucoup. Et souvent. Ce qui fit penser au médecin que la mère pouvait souffrir d'un syndrome assez mal connu. Le syndrome de Münchhausen par procuration, un syndrome qui fait que la mère rend son enfant malade pour que l'on s'occupe d'elle, bien que cela soient un peu plus complexe que cela dans l'esprit de la mère, ce problème peut être mortelle pour l'enfant. Heureusement, le petit frère fut sauvé et placé chez ces grands-parents.

Le père des enfants lui n'avait rien fut travaillant un peu trop pour essayer de sauver son entreprise, il partait tôt et rentrait tard... Pour van ', ce fut un choc d'imaginer que sa mère pouvait blesser l'un d'eux. Et du haut de ces douze ans, il décida de protéger ces frères et sœurs. Et en effet, ils ne faillaient pas les ennuyer dans la cours de récré, parce que le jeune homme fonçait sans penser a rien.

Le temps passa et sa mère se remettait doucement dans un institut spécial, enfin se remettais disons qu'elle restait calme, mais qu'elle développait aussi d'autre problème mental. Leur père fini par mourir d'une crise cardiaque alors que le jeune homme avait 18 ans. Ce fut un choc pour le jeune homme qui commençait juste ces études de vétérinaires, mais il savait qu'il n'avait pas le droit de montrer sa tristesse, et comme souvent, il se referma sur lui, se plongeant dans ces études, il prit même un petit travail pour soulager son grand-père.

Les études se déroulaient assez bien, il avait pas mal de projets, quand il tomba amoureux. Une jeune damoiselle qui faisait les mêmes études que lui. Ce fut une jolie romance d'adolescent, avec tout ce qui en découle. Mais comme souvent cela ne finit pas vraiment bien, la jeune femme voulait autre chose qu'une vétérinaire de campagne... Bref, elle le trompa à plusieurs reprises. Et la rupture fut difficile.

Le jeune homme venait de finir ces études quand son frère annonça qu'il voulait partir sur les routes, qu'il voulait suivre les circuits de rodéo. Incapables de laisser son petit frère seul, notre jeune amis réussis à se faire engager par le même patron comme vétérinaires. Il passa plusieurs années sur les routes, pour tout avouer, il adorait cette vie. Il adorait passer de lieu en lieu. De ville en ville, il loua même pendant un an ces services comme cow-boy, cette vie lui allait bien.

Mais alors qu'il allait sur ces trente et un an, son frère fut gravement blesser aux colonnes vertébrales, plus jamais il ne remarchera... Ce fut un choc pour lui et le reste de la famille, sa sœur qui était psy déclara qu'il devait avoir un but dans la vie. C'est comme cela que naquit dans leurs esprits l'idée de faire un ranch ou les chevaux seraient dresser spécialement pour les personnes à mobilité réduites.
Ce fut assez fastidieux de tout mettre en place, mais le projet se montait, ils eurent rapidement quelque clients, surtout des enfants en fauteuils roulant qui pouvait retrouver un semblant de liberté en montant à cheval.

Pourtant, ce rêve fut à nouveau briser, en effet il y a quelque jours, Van fut enlever alors qu'il sortait aider une jument à pouliner, la douleur qu'il a ressentie dans son crâne fut fulgurante... Il ne sentit même pas qu'on lui faisait une injection pour l'endormir, il sait simplement qu'il se réveilla ailleurs. Sans comprendre pourquoi on l'avait enlevé, en effet, il ne possédait rien, toutes ces économies étant passé dans le ranch. Non vraiment, il ne comprend pas ce qui se passe, et pas sure qu'ils se laissent faire non plus.


DERNIÈRES PETITES PRÉCISIONS
Ce personnage est-il un PV ? (si oui de qui) : nonil est de moi
Avez-vous des liens avec d'autres personnages ? : Nop
Comment avez-vous découvert le forum ? : par un des admin
Vos impressions : Trés bonne j'adore le nouveau design
Votre taux de présence : réguliére
Code du règlement :
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MessageSujet: aulis I kyöstis   vanyel fergusson Icon_minitimeJeu 19 Juin - 8:17

vanyel fergusson 668859fichetop
Kyösti  Aulis Iksander
Race : humains
Nom : Kyösti
Prénoms : Aulis Iksander Frederick
Âge : 22 ans
Originne(s) : Russo-Suédoise
Groupe :  Humain partisant
Métier / Rang Esclave / danseur/ Couturier
Avatarandrej pejic


Description physique


Mon physique ? Pourquoi vous voulez que je vous parle de cela. Bon d'accords. Je mesure un mètre quatre-vingt-huit. Je suis tout en longueur, presque trop maigre d'après certain, il est vrai que je ne suis pas du genre gourmand et donc je ne mange que le nécessaire. Mon corps porte pas mal de marques de morsures et d'anciennes cicatrices.

J'ai une apparence androgyne, il est souvent difficile de dire si je suis un homme ou une femme. Pour tout avouer je ne le sais pas toujours.

De plus je suis ce que l'on appelle une hermaphrodite, je possède les gamètes mâle et femelle, mais surtout je possède les deux organes  sexuelles. Oui je suis autant femme qu' homme. Même si je n'ai pas les caractères secondaires d'une femme. En effet je ne possède pas de poitrine, mais je ne possède pas non plus le système pileux des hommes .Bref je suis parfaitement entre les deux.


Descriptions psychologique

Je ne sais pas vraiment me décrire. Je ne suis ni gentil ni méchant. Je ne suis pas fou, enfin je crois .J'aime la douleur, celle physique, celle qui fait battre le cœur plus rapidement. J'aime le monde de la nuit, ses illusions et ses mensonges. J'aime me perdre dans la folie et la luxure. Je ne connais pas ce que les autres appellent une vie normale. Me marie, avoir des enfants, une vie tranquille, une vie au soleil ? Tout cela n'est pas pour moi, je suis condamné à souffrir encore et encore. Je n'ai pas vraiment d'espoir, je ne compte pas sur les autres pour me sauver. Je n'aime pas les humains, ils me font peur et me dégoûte. J'ai tellement de mauvais souvenirs de leurs mains sur mon corps, de leurs souffles sur mon corps. Les humains me dégoûtent et pour tout dire.

Je n'ai aucune considération pour ce corps qui est le mien, qu'on le blesse me laisse tout à fait froid. En fait il n'y a qu'une chose que je ne supporte pas c'est que l'on touche à mes cheveux. Même pour les caresser ou pour les coiffer, je suis le seul à pouvoir les entretenir... Même au coiffeur j'ai du mal.

Je ne pense pas être un de ces hommes qui pleurent pour les autres. Vous souffrez et bien moi aussi quelle importance, les larmes ne servent pas à grand-chose je le sais bien. Cela rend juste les yeux bouffis et c'est moche, non vraiment les larmes ne me font rien. Je ne suis pas du genre à aider les clochards dans la rue ou à recueillir une pauvre fille trouvée sur le trottoir. Non vraiment ces gens n'ont qu'à se débrouiller pour survivre, comme je l'ai fait.

Oui je suis égoïste, je ne supporte pas que l'on touche à ce qui m'appartient, je ne partage pas mes vêtements, ni mes amants. Je ne suis pas pour autant méchant, il m'arrive même d'être généreux, surtout avec ceux qui comme moi semble se perdre dans la nuit, j'aime bien leur apprendre la vie. J'adore apprendre à danser, simplement parce que la danse fait partie de moi, c'est une drogue pour moi que de danser. Alors si je peux partager ma passion pourquoi pas.

J'aime tout ce qui est dangereux, frôler, danser avec la mort est ce que j'adore. Je suis accroc à toute sorte de chose, mais celle qui me fait vraiment vibrer c'est la morsure des vampires, cette morsure me fait monter au septième ciel  sans même que l'on me touche plus que ça.

Je suis nymphomane, je ne pourrais pas rester longtemps sans avoir un peu de plaisir... Serais encore mieux non?, que cela soit en m'accouplant avec un vampire, soit en voyant souffrir un autre humain. Parce que oui je suis maso mais aussi sadique... Même si je n'ai encore jamais touché moi-même un humain.

J'aime pourtant la vie, j'adore observer les animaux surtout, allez savoir pourquoi je trouve un certain apaisement en leur présence. Vous me verrez souvent à nourrir les chiens et les chats errants et surtout à en prendre soin. Si j'avais été plus malin je serais peut-être devenu vétérinaire.

Parce que oui je n'ai pas une très bonne éducation. Je sais à peine lire et écrire, j'ai eu une scolarité un peu chaotique. J'ai d'ailleurs beaucoup de mal avec les chiffres, ne me demandez pas de compter d'ailleurs, c'est impossible pour moi. Si je ne suis pas doué pour les chiffres, je le suis plus pour les langues, tant qu'on ne me demande pas de les écrire, je parle l'anglais, le français, le suédois ... Le suédois étant ma langue maternelle.

Que dire de plus ? A vous de le découvrir.



Biographie

vanyel fergusson 801870tumblrmlzs58lj7m1rar94xo1400
Avant de vous conter mon histoire il faut que je vous parle de celle de ma mère, une belle femme aux cheveux aussi blonds que les miens, aussi jolie que les rayons du soleil. Toute jeune elle sut qu'elle voulait faire de la musique et vers seize ans elle tomba amoureuse de cette musique un peu folle qu'est le punk, elle commença à sortir et avoir des points de plus en plus mauvais. Elle avait de la chance, ou au contraire de la malchance, d'avoir des parents qui lui permettaient de faire tout ce qu'elle voulait. Elle gouta donc toute jeune aux méfaits de la drogue et de l'alcool. A dix-huit ans elle tomba amoureuse d'un chanteur d'un groupe minable, un jeune homme qui faisait cela pour le plaisir. Mais cette fois elle eut de la chance, cet homme était fidèle et en dehors de la musique il avait un travail, un simple travail mais qui suffisait.
Il prit soin de ma mère surtout quand il apprit qu'elle était enceinte, ma mère n'avait que dix-neuf ans mais elle voulait cet enfant. Pour le bien de celui qu'elle portait elle cessa de boire et de prendre des substances un peu étranges. Et c'est comme cela que naquit sa fille, une belle petit fille, en pleine forme, un petit ange que ma mère adora presque tout de suite. Elle l'adorait comme on adorait un dieu, elle en prenait un soin maniaque..

Le temps passait et ma mère fini ces études de musicologie, donnant des cours de chants à domicile, pour mieux s'occuper de ma sœur, alors que celle-ci allait sur ces cinq ans. Son père mourut, il tomba d'un toit. Ce fut pour ma mère un véritable choc, et elle sombra à nouveau dans ces travers à nouveau l'alcool entra dans la maison, et elle recourut les concerts les plus glauques et les moins cher, elle laissait souvent ma sœur chez notre grand -mère.
Un an après la mort de son mari ma mère coucha avec un bassiste de passage... Cette expérience surement assez mauvaise fit qu'elle essaye de reprendre les rênes de sa vies. Elle voulait en plus que son petit ange devienne une vraie princesse, une chanteuse de talents. Oui elle voyait déjà sa vie en haut de l’affiche, plus haut qu'elle-même n'avait jamais été.

Pendant neuf mois elle vécut un vrai rêve adorant prendre soin de sa fille, elle avait même retrouvé un travail... Jusqu'au jour où une douleur la cloua sur le lit, et qu'elle laissa sa fille partir avec sa mère jusqu'à son cours de danse. Ma mère avait fait un déni de grosses alors que je grandissais dans son ventre, et surtout que je demandais à naitre.
Je suis donc né sans aide extérieurs, ma mère faisant le travail seule sur son lit... Je ne sais pas ce qu'elle a pensé de moi à la naissance, mais elle m'a un jours dit qu'a l'instant où je poussais mon premier cris le téléphone avait sonné et qu'elle m'avait emmailloté dans une couverture pour répondre..

Et c'est là que le monde s'est écroulé pour elle.

« Madame... votre mère a eu un accident de voiture. Une voiture va venir vous chercher. »

La voiture viens en effet, une voiture de police, ma mère y monta avec mon petit corps dans les bras, mais elle ne semblait pas se soucier de mes cris, ceux d’un enfant nouvellement né qui réclamait à manger, au moins j’avais des poumons. L’un des policier, une femme en fait prit pitié de moi et demanda à son collèges d’aller plus vite, elle me prit dans ses bras, moins encore couvert des fluide de ma mère.

A l’hôpital on me confia aux urgences, quand à ma mère elle fut menée à la morgue, là ou reposait sa mère. Ce fut pour elle un choc, mais encore plus quand elle comprit que quelque chose clochait, ma sœur n’était pas à son cours de danse. En fait elle avait simplement disparue. Il n’y avait plus de trace de ma sœur, son sac avait disparu dans la voiture de ma grand-mère, mais le plus troublant c’est que quand ma mère rentra chez elle, il n’y avait plus de vêtement, plus de traces de sa fille chérie. La seule chose qui lui restait c’était la photo qu’elle gardait contre son cœur.

Il parait qu’elle a hurlé pendant longtemps, frappant ceux qui osaient dire qu’elle mentait… Ma mère était folle. Tellement qu’elle fut internée, qui voudrait croient une ancienne droguée ? Quant à moi je fus placé en couveuse, avant d’être placé dans une famille d’accueil, une famille charmante, ma mère ne voulait pas m’abandonner.

Je grandissais lentement mais surement, ressemblant de plus en plus à ma petite sœur, j’allais souvent rendre visite à ma mère, c’était assez perturbant, surtout quand elle me serrait fort comme si j’étais tout pour elle. Elle demandait souvent que je porte, telle ou telle robe quand j’allais la voir. Pour tout avouer mes parents d’accueils ne me considéraient ni comme un garçon ni comme une fille, ils me laissaient faire ce que je voulais. Mais personnellement déjà tout petit je préférais les poupées aux voitures..

Le temps passait et j’eu six ans, et ma mère fut enfin jugée apte à reprendre sa vie. Etrange elle put avoir ma garde et partait en Amérique, avec moi dans ses bagages, là elle trouvait une place comme danseuse de cabaret, elle y chantait aussi. Ce n’était pas un grand cabaret, en fait il était tenu pas un ancien danseur un peu fou et un peu gay aussi. C’était un petit truc qui avait son lots d’habitués, et ma mère eu la chance d’avoir un logement juste à côté.

Le problème c’est qu’elle ne voulait plus me lâcher des yeux, elle me gardait donc près d’elle lorsqu’elle répétait ses numéros, me confiant à l’un des danseur, qui trouvait amusant de m’apprendre à danser, et de m’apprendre certaines petites choses, ma mère dû bien me mettre à l’école et encore je n’y allais pas tous les jours, simplement parce que souvent le soir elle me frappait, ce qui laissait des marques. C’était souvent au moment du bain, quand elle voyait que je n’étais pas une fille, elle me hurlait souvent dessus avant de frapper. Tous les jours pourtant elle s’excusait disant qu’elle regrettait, et moi je pardonnais parce qu’elle était ma mère, parce que je l’aimais.

Souvent elle m’habillait en fille, et c’était difficile à l’école, on me traitait souvent de fou, et je me sentais un peu différent d’eux. Cela me faisait souvent pleurer, heureusement il y avait les collègues de ma mère, qui m’adoraient, ils me faisaient souvent des cadeaux et m’apprenaient plein de choses, à chanter, danser me maquiller. Je me sentais bien avec eux, et puis ils me faisaient moins peur que ma mère, ma mère avec ses yeux fous.

Oui ma mère était folle, je grandissais et j'allais sur mes dix ans quand elle changea de comportement, elle changea surtout de métier, elle recevait des hommes dans sa chambre. J’entendais tous, il faut dire que je dormais sur un lit de camps dans sa chambre, et quand elle recevait les clients, je devais dormir dans un placards. Je pouvais voir tous ce qu’elle faisait, les cris qu’elle poussait, je découvris rapidement que j’étais différent des hommes qu’elle recevait, moi je n’avais pas ces deux boules qui pendaient entre les jambes. Et puis pourquoi j’avais la même ouverture que ma mère ? J’étais différent et fils de putain.

Peu à peu je commençais à avoir peur du noir, jusqu’à ce qu’un ami m’offre un chat, un joli petit chat blanc, qui restait avec moi dans mon placard, et me consolait quand ma mère me frappait encore et encore. Elle m’accusait de tous les maux, d’avoir tué ma sœur en naissant, elle m’accusait de ne pas être un homme, de ne pas être une femme, d’être un être sans importance.

A douze ans je passais de longue nuit dehors, allant souvent travailler au cabaret pour avoir un peu d’argent de poche, je voulais des objets comme les autres enfants, le dernier téléphone, le dernier ordinateur. J’étais assez doué pour servir les clients et pour éviter leurs mains baladeuses, parce que beaucoup de clients aimaient mon corps juvénile et mes courbes masculines. Même si souvent je portais une jolie petite robe…

A treize ans ma mère amena un homme à la maison, un de ses clients, un de ces hommes qui me regardait souvent avec un air de fauve. Je savais que certain homme, et même certaine femme aurait bien voulu m’avoir dans leur lit, je m’étais déjà fait peloter plus d’une fois, j’avais senti des mains s’attarder sur mon corps, le touchant, mais j’avais toujours réussis à m’esquiver. Mais ce soir ma mère m’appela, elle me dit que son partenaire voulait me parler un peu. Je ne pouvais que la croire n’est-ce pas ?

J’y suis donc aller, je me souviens encore de la jolie robe blanche que je portais ce soir-là, une robe des plus virginal que j’avais cousu moi-même, oui la costumière du cabaret me l’avait appris et elle m’avait aidé pour la robe. Une belle robe avec des volants, et dont le bustier était rembourré comme pour me faire une légère poitrine. Je me rappel aussi de l’homme, il n’était pas laid, mais ses yeux d’un bleu d’acier étaient assez effrayant, des yeux ou brillait une lueur de folie.

Ma mère me fit asseoir dans le divan à côté de lui, et comme je m’y étais attendus l’homme se pencha vers moi me parlant, si proche de moi qu’il semblait me souffler son haleine directement dans la bouche, sa jambe frôlait la mienne. Il était si proche, ma mère revint avec des boissons, pour moi un simple jus d’orange que je bus rapidement. A cet instant je pense que j’ai compris le sourire de ma mère. Parce que lentement le monde semblait vaciller devant moi, et je basculais contre l’homme. J’entends encore son rire un peu fou, je sens ces bras me soulever pour aller jusqu’au lit.

Le lit grinça quand il m’allongea, encore plus quand je sentis son corps contre le mien, sa bouche posséder la mienne. Puis c’est le trou noir, je me souviens de cris, d’une douleur dans mon corps, de mains qui court, qui me caressent, mais tout cela semble lointain, tellement loin que je pense avoir rêvé…

Sauf que le lendemain mon corps était plus douloureux qu’il ne l’avait jamais été, mais le pire n’était pas le sang sur mes cuisses et les marques de coup ou les marques de suçons . Non le pire était cette impression d’avoir été violé, d’avoir été trahis. Je me suis juste vêtu d’un simple peignoir pour aller pleurer dans les bras du patron du cabaret. Comme je l’ai déjà dit ce patron était assez étrange, ancien danseur il me paraissait toujours rester pareil et si son étreinte était rassurante elle était aussi plus froide. Mais dans un sens je m’en fichais, je le suppliais de m’aider à partir, je ne pouvais plus rester avec ma mère.

Pour tout avouer je ne pensais pas qu’il trouverait une solution, pourtant il me conseilla de rester dans sa chambre. Il me donna quelque chose pour me faire dormir. Je ne sais pas pourquoi je lui fis confiance, mais lorsque je me suis réveillé à la nuit tombée, il était la assis aux bords du lit. Il me parlait d’un de ses amis qui vivait dans une jolie petite île. Il me dit que son ami cherchait un jeune chanteur qui pourrait attirer du monde dans son bar. Comment aurais-je pu refuser cette proposition ? Vraiment comment aurais-je pu ? Le soir même je fus placé dans un petit avion privé, l’homme me promis de venir me voir rapidement avant de refermer la porte de l’avion. Je me rappelle m’être dit que c’était étrange, qu’il ne sortait que la nuit, sinon on ne le voyait jamais dehors.
Le trajet fut long et l’arrivée à la ville fut un peu étrange, il régnait dans cet endroit une drôle d’ambiance, mais du haut de mes treize ans je ne trouvais pas cela anormale, je sais que j’étais fou d’aller voir une femme que je ne connaissais pas pour commencer une nouvelle vie. Et la personne qui m’accueillit dans ce petit bar à l’ambiance de maison close fut une surprise, c’était une belle femme au teint exotique, et au sourire lumineux, elle paraissait si jeune, et pourtant elle me troublait plus que je ne l’avais jamais été.

Je fus bien accueilli par la tenancière et celles qu’elle appelait ces filles, ou tous, homme comme femme, j’eu même le droit à ma propres chambre. Pour la première fois de ma vie j’avais une chambre pour moi tout seul. Une fois installer Hina, ma nouvelle famille m’expliqua que cette endroit était un peu spécial, mais en quoi je ne le sus pas vraiment, il fallait que je ne me choque de rien de ce que je pourrais voir.

Et puis elle me demanda de chanter, j’avais une belle voix je dois avouer et je dansais assez bien, bref elle me laissa donc monter sur scène, et surtout je restais en coulisse pour aider à l’habillage et au maquillage. J’ai très vite adoré ma nouvelle vie, j’avais des cours par ordinateur et le soir je chantais habillé comme une belle femme sur scène. Souvent en observant la salle je me demandais ce que faisaient les « filles, ». Les employés semblaient prendre un plaisir fou à se faire mordre. Mais surtout les clients semblaient tous un peu spécial, ils semblaient bien plus puissants que des humains.

Les mois passèrent et je me liais de plus en plus avec les autres personnes, je me sentais bien. Et puis il apparut, cet homme était un peu différent des autres, un peu plus fort il me semblait. Quand son regard tomba sur moi j’eu l’impression de sombrer, mon cœur n’avait jamais battu aussi vite, oh il me faisait peur, mais j’avais tellement envie qu’il me touche… Je ne me comprenais pas, pourquoi mon corps réagissait comme cela ?

Il fut le premier à demander ma compagnie, et l’on accepta, et moi aussi d’ailleurs. Ce fut une soirée un peu étrange, il ne fit que parler, s’étonnant que j’ai si peu de connaissance du monde, j’avais toujours vécu dans un monde un peu étrange et la violence ne me faisait pas peur. C’est surement pour cela que je ne réagissais pas vraiment quand il prit mon poignet pour l’entailler. Non ce qui me fit réagir c’est la façon qu’il avait de laper mon sang, avant de l’aspirer… Je ne fus pas étonné très longtemps, j’avais vu d’autres personnes le faire. Et puis je ne parvins plus à penser. C’était une sensation agréable que de le sentir faire. Mon cœur battait tellement plus vite.

Et tout fini soudainement, l’homme souriait et me promis de revenir, laissant sur la table un joli paquet de billet… Tendant l’oreille je l’entendais parler de sang de vierge… Mais vierge je ne l’étais plus n’est pas. L’homme m’avait violé ?

A partir de cet instant il revient souvent me voir, m’emmenant même des fois en balades, il me couvrait de cadeaux, et surtout il prenait mon sang, je l’aimais je pense. J’aimais l’écouter parler de sa vie, sans même me rendre compte qu’il avait fait tellement de choses. Vieno semblait si vieux et si jeune à la fois.
Au bout de quelques mois il m’avouait que la vie était emplie de vampire. Pour tout avouer cela ne me fit pas plus peur que cela. Je l’aimais avec toute la fougue de la jeunesse.

Il continuait à me dresser doucement, me poussant un peu plus loin dans ce qu’il me faisait faire, il me faisait de plus en plus mal, et moi j’acceptais tous ce qu’il voulait. Oui j’acceptais tous. Je vivais pleinement cette vie… Cela faisait trois ans que nous vivions ainsi, et je me sentais différent, je venais d’avoir seize ans. J’étais beau je le savais, et lui me poussait un peu plus loin, il me fit venir lors d’une séance de torture, ce fut la premiere fois que j’entrais dans le palais de Léandre. J’étais pour tous l’esclave de Vieno, et ce que je vis me marqua. Oh j’eu envie de vomir, mais quelque chose semblait jubiler en moi. Étrange le regard glacial de l’homme torturé me rappelait celui qui m’avait violé.

Quand mon vampire se penchait sur moi pour me murmurer quelque mots, j’eu un hoquet, alors c’était vraiment cet homme qui avait brisé ma jeunesse. J’ai hurlé à cet instant et mon vampire a souris avant de poser dans ma main un joli petit couteau m’ordonnant d’aller faire mal à cet homme, un instant j’ai hésité avant de faire un pas en avant, pour le frapper… Cela me rendit étrangement heureux, sentir le couteau s’enfoncer dans la peau de l’homme fut presque jouissif.. Et la nuit qui suivait je perdis ma virginité de femme.

Peu de temps après Vieno disparu et je me consolais dans les bras de divers vampires. Je ne supportais pas de sentir les doigts chauds des humains sur mon corps, je voulais vivre au palais, plus que tous. Je n’aimais pas les humains, ils me dégoutaient, j’adorais par contre m’offrir aux vampires, j’étais apprécié je pense, en tout cas j’avais assez de clients. Je vivais bien puisque l’on me faisait souvent des cadeaux.

Cela faisait maintenant six ans que je vivais dans cette ville, cinq ans… J’avais un peu touché à tous, mais la plus dure de mes drogues était la morsure des vampires, j’adorais sentir leurs dents percer ma peau tendre. Puis cette vampire entra dans la chambre, elle me ressemblait un peu . Quelque chose dans ses yeux me fit pencher la tête sur le côté. Elle me rappelait la photo que ma mère portait autour de son cou. La photo de ma sœur en plus vielle, pourtant cela ne pouvait pas être elle, elle semblait juste avoir mon âge… C’était une jeune vampire.. Jeune d’apparence et d’âge. Une vampire de six ans… Quand elle se mit a parler je suis resté sans voix, elle était vraiment cette sœur disparue que ma mère cherchait sans cesse, comment m’avait-elle retrouvé ? Je ne sais pas vraiment. Mais elle voulait que je vienne avec elle vivre au manoir…

Comment refuser cette demande… Non je n’ai pas refusé et je l’ai suivi. Tout ici était magnifique et surtout je pouvais admirer de loin les vampires les plus forts. Le sire de ma sœur était parti et elle se sentait seule. Personnellement cela m’était égale, mais grâce à elle, je pouvais servir dans le manoir. Mais il était étrange de voir que ma sœur n’avait pas disparue, ni qu’elle n’ai pas que vécue dans l’esprit de ma mère.

J’aimais beaucoup ma sœur, mais j’ai besoin de sentir une présence masculine, je cherchais souvent la présence des vampires les plus forts et les plus violents, je me sentais si vivant quand ils me frappaient. Mais il y a encore quelque chose que je désire plus que tous… Je voudrais un jour goûter au sang de vampire, je voudrais juste une fois y tremper mes lèvres, jusqu’ici on me l’a interdit…

Mais j’ai vingt-deux ans à présent je sais ce que je veux, et je ferais tout ce que Léandre décidera pour devenir un vampire. Oui je serais sans pitié.



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