Pépin.. je suis plus haut que trois pommes //terminé//

♦Surnom :Aucun
♦Âge : 19 ans
♦Race :Hybride cochon d'inde ( cobaye )

♦Métier : Aide familial
♦Particularité : Couine souvent, déteste les bruits forts. a un problème au niveau du cœur, celui ci souffre des fois de fibrillation, c'est a dire qu'il s'emballe. Possède des oreilles animales qui se dissimule bien a ces cheveux. A un grain de beauté sous l’œil.
♦Bracelet : Cheville Gauche

♦Groupe : esclave docile
♦Utilise l'avatar de : Yamato no Kami Yasusada de Touken Ranbu

Ce que je vois dans le miroir


1m73 , 59 kilos , cheveux noir, yeux bleu, oreille de cochon d'inde noir. Cicatrice dans le bas du dos et sur le genoux droit.
Je n’aime pas me décrire. Vous savez, il suffit que vous me regardiez pour me voir. Alors je n’ai rien de particulier, mes cheveux sont d’un noir assez intense. Je les attache souvent en une queue-de-cheval, j’avoue que j’ai du mal à les discipliner. Ils ont tendance à partir un peu dans tous les sens. Mais bon, je les aime bien moi mes cheveux.

Ma peau est blanche et elle a du mal à bronzé, en fait quand je vais trop au soleil et bien, je me prends un coup de soleil. C’est pour cela que j’évite d’aller à la plage quand le soleil est trop fort. Je n’ai pas vraiment de marque particulière sur mon corps. Sauf une cicatrice au niveau de mon corps, elle est presque disparue, mais je sais qu’elle est là. Et cela m’angoisse des fois.

Que dire de plus sur mon corps et moi, même si j’ai l’air mince et sans force. Je ne suis pas si fragile que cela, mon corps est bien fait. Je fais beaucoup de natation et de danse. Ce qui a musclé mes bras, mes jambes, et même mon torse. Il est vrai que je n’ai pas une musculation de dingue, mais je sais que je n’ai pas à rougir de mon corps. Bien que je l’avoue, j’ai tendance à prendre de la brioche assez facilement.

De mes gènes d'animaux, j'ai eu la chance d'avoir deux jolies petites oreilles légèrement rondes. On ne les voit pas facilement dans mes cheveux, mais elles sont là et bien sensible, je vous le dis.

Ce qui se passe dans ma tête


Docile, doux, masochiste, bon vivant. Bavard, peureux, gourmand. A l'écoute, avide d'apprendre et de bien faire. Têtu par moment, boudeur.

Mon caractère ? Je ne crois pas que je sois quelqu’un d’étrange. J’ai des goûts assez simples. J’aime beaucoup les gens. J’aime m’occuper d’un. Je crois que je suis assez doué en cuisine, bon, je l’avoue c’est surtout parce que j’adore manger. J’adore prendre soin d’un intérieur. J’aime beaucoup pour tout dire voir le sourire sur le visage des gens.
J’ai tendance à parler beaucoup et souvent pour ne rien dire. Même si depuis que je porte ce bracelet, j’hésite un peu à parler. Je n’ai pas encore l’habitude de mon nouveau statut. Mais je sais que je dois rembourser mes dettes, celle que mes parents, on dut porter à cause de moi.

J’aime que les gens soient contents de moi, j’aime apprendre de nouvelles choses. Je suis passionné par tout ce qui est sciences. Je connais pas mal de chose sur le corps humain et la médecine. Peut-être parce que j’ai passé beaucoup de temps à l’hôpital. J’ai d’ailleurs la chance d’avoir une formation de premier secours. J’aimerais un jour reprendre des études pour devenir infirmier.

Mes amis me disent souvent que je ne sais pas m’imposer, que je ne sais pas crier. C’est vrai que j’ai tendance à garder tous sentiments négatifs au fond de moi. Pourtant, je suis quelqu’un de jaloux et de possessif, je déteste partager l’attention. Et j’ai une peur panique de ne pas être aimé, ou d’être abandonné. Pourquoi je ne sais pas vraiment.

J’ai réussi avec le temps à accepter ma maladie, celle qui me fait prendre des médicaments tous les jours. Mon cœur s’emballe encore quelque fois, mais au moins je peux vivre normalement. J’ai tellement peur de ne pas vivre assez de choses que je n’hésite pas à faire de nouvelles expériences.

Je suis assez secret sur ma vie privée, au point que mes amis et collèges ne savent pas que je vendais mon corps pour avoir assez d’argent. Enfin pas seulement pour cela, je crois que je suis un peu accro au sexe. Je fais de mon mieux pour résister, mais des fois, c’est plus fort que moi et je dois trouver un amant. J’avoue que des fois, c’est un peu douloureux. Mais qu’elle importance la douleur fait partie de la vie n’est pas ?

Par contre, j'ai peur de beaucoup de choses. Par exemple, j'ai une peur panique des orages, quand il y en a un, je n'arrête pas de trembler et de couiner. Mais j'ai aussi peur du noir, je ne sais pas dormir dans une pièce totalement noire, cela me rend nerveux. J'ai un peu peur aussi des bruits trop brusque, j'ai toujours peur que mon cœur s'arrête. J'ai peur de la mort et pour moi la solitude, c'est comme la mort, alors je cherche toujours une présence, quelqu'un pour me rassurer. J'ai aussi peur quand les chiens m’aboie dessus, je les adore pourtant , sauf quand ils crient.




Ce que j'ai fait de ma vie



Comme tout en chacun, je suis née dans un laboratoire. Je ne crois pas que mes parents m’aillent attendus hybride, mais pour eux cela fut un plaisir que de m’avoir. Ils s’aimaient, autant qu’ils m’aimaient. Surtout que d’après eux, j’étais un enfant facile et docile. Un peu trop en fait. C’est vers trois ans qu’ils remarquèrent que je n’étais pas tout à fait normale. Je ne pouvais pas bouger autant que d’autres enfants et j’étais souvent malade. Comme si mon corps était plus faible que d’autre.

Heureusement pour moi mes parents étaient assez riches et ils m’ont conduit rapidement au médecin. Il fallut un certain pour découvrir que je souffrais d’une malformation cardiaque. Une de mes valves ne fonctionnait pas correctement, et mon sang circulait donc moins bien. Cette malformation était opérable, mais pas avant que j’aille six, sept ans.

Les années suivant le diagnostic furent assez difficiles pour moi. Je ne pouvais rien faire comme les autres et je passais beaucoup de temps à l’hôpital parce que mon cœur n’arrêtait pas de s’emballer. Tous ces séjours à l’hôpital, ces médicaments étaient pour tout avouer assez cher à payer et l’argent de mes parents diminua peu à peu.

Puis vient le temps de la première opération. Je ne me souviens pas bien de ce qui se passa, mais ce fut douloureux et long… Mais par chance le cardiologue était des plus doué et il me remit sur pied. Je me souviens par contre parfaitement des visages de mes parents. Ils semblaient tellement heureux.

Après l’opération et surtout pour ma convalescence, mes parents et moi avons rejoint la maison de mon grand-père. Un homme assez rustre et boudeur. Que j’ai tout de suite aimé. Parce qu’il avait sous ces airs bourrus un cœur d’or. Même si j’étais guéri l’un de mes pères ne cessait de me couver. Aux points qu’il finit par se disputer avec mon autre père… C’est à cause de moi qu’ils se sont séparer j’en suis sure.. En tout cas, c’est ce que je pensais a douze ans quand ils décidèrent de vivre chacun de leur côté.

Enfin, ils ne vécurent séparer qu’un an… Simplement parce que l’un de mes parents tomba malade et que l’autre se mit en tête de le soigner. Je me sentais un peu rejeter de cette relation qui reprenait vie. C’est surement pour cela que je passais beaucoup de temps avec mon grand-père. C’est lui qui m’apprit à nager et qui me paya des cours de danse. J’adorais vivre avec lui. C’est pour lui faire plaisir que j’appris à cuisiner.

Ma vie était belle, mais ce que je ne savais pas, c’est que mes parents avaient de plus en plus de dettes. Même la mort de mon père à quinze ans ne me fit pas découvrir le gouffre où il se trouvait. Surement parce que le survivant fit en sorte de tout faire pour ne rien me dire. Mais surtout parce que je vivais à présent avec mon grand-père.

Mon père survivant lui sombra dans l’alcool et le jeu… Je ne pouvais rien faire pour l’aider et cela faisait mal. Mais j’ai eu de la chance de pouvoir choisir une formation qui me plaisait. Un truc tout simple qui me permit de venir en aide aux gens. En les aidant dans la vie de tous les jours.

C’est peu avant mes dix-sept ans que je découvris les dettes de mon père, et que j’ai décidé d’essayer de les éponger. J’avais déjà eu un amant parmi mes camarades de classe. Et j’ai décidé d’accepter la proposition d’un de mes amis.. Enfin connaissance, pour lui, je vendis une première fois mon corps... Au début, cela fut simplement pour poser nus. Mais le jour de mes dix-huit ans, je vendis mon corps à un homme de ma connaissance… J’avais besoin d’argent.. Et surtout de fuir la mort qui rôdait à la maison… Mon père avait trop but et son foie était mort… Mon grand-père était vieux et déclinait.

Pendant un an, j’ai lutté. J’avais un mi-temps comme aide familial, pendant trois jours par semaine, j’allais dans des foyers où l’on avait besoin de mon aide. Et pendant le reste de la semaine, je me prostituais…

Et puis un jour tous cessa. Mon père décéda, enfin non, il se suicida. Et cette action eue un effet… Un peu étrange sur mon grand-père qui le suivit rapidement dans la tombe. Je me suis retrouvé seul dans ce monde… Et plein de dettes.

Pour tout avouer, je ne savais pas trop comment faire pour les payer… Enfin si je savais que j’allais devoir porter des chaînes. Et dans un sens, cela me semblait logique, mes parents s’étaient en partie ruinés pour moi, ce n’était que justices.

C’est pour cela qu’aujourd’hui, je suis dans cette cage à attendre qu’un homme me choisissent cela me fait un peu peur, mais je suis pourtant impatient… Au moins, je ne serais pas seul.