Gaia monde de légende
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


La vie c'est ça, un bout de lumière qui finit dans la nuit ? (yaoi/yuri/hentai autorisé )
 
AccueilRechercherS'enregistrerDernières imagesGalerieConnexion
Le Deal du moment : -21%
LEGO® Icons 10329 Les Plantes Miniatures, ...
Voir le deal
39.59 €

 

 faas

Aller en bas 
AuteurMessage
Isil/Anar Lórindol
Future gardienne du temps
Isil/Anar Lórindol


Féminin
Nombre de messages : 608
orientation sexuel : Hybrides phenix
objet fétiche ? : Un colier qui représent..-La Lune...- Le soleil

Feuille de personnage
† Age †: 222 ans
♥ amour ♥: Nous sommes un... Personne ne peut se placer entre nous

faas Empty
MessageSujet: faas   faas Icon_minitimeMer 13 Fév - 19:51

Age: 490 ans d’existence mais toujours 19 ans
Surnom: ....
Groupe: Miliciens
Nationalité/Origine: Néerlandaise
Orientation: Ambi
Métier: Miliciens Section « AE »

Signes Particuliers: Porte toujours de petites lunettes, les verres ne servent a rien. Tu aimes juste le style qu'elle te donne. Tâches de rousseurs sur le nez et les épaules.

Derrière l'écran



Comment as-tu découvert le forum ? ça date maintenant
Es-tu un DC ? De qui ? [Sian et co]
Age: 33 ans jusqu'en septembre
Votre avatar provient de :Yoshiwara Anri d'Adekan
As-tu lu le règlement ? Si oui, écris-en-nous la preuve ici : Validé par le Créateur
Commentaire(s): Miou


Apparence




..
Taille : 1m65 il est vrai que tu n’es pas très grand. Mais tu dégages une aura qui en fait reculer plus d’un. Une assurance dans ta démarche, un sourire un peu froid. Oui tu n’es pas grand mais tu ne te laisses pas non plus marché sur le pied.

Poids : 56 kilo, juste un peu au dessus du poids idéal pour un homme. Mais tu n’es pas gros loin de la, ton corps est bien musclé. Musclé par une pratique régulière du sport et surtout du combat. Disons le franchement la vitesse est pour toi un avantage. Qu’il ne faut pas négliger.

Cheveux : blond, cheveux bouclés, une vraie chevelure d’or, une vraie chevelure d’ange que tu entretiens avec un soin maniaque. Tu détestes que l’on touche à tes cheveux. Tu détestes que des mains sales et grasses les touchent. Le seul moment ou tu autorises quelqu’un à les toucher c’est quand vous passez tous les deux un moment chaud. Tu aimes les laisser pousser. Jusqu’à ce qu’ils te couvrent le dos.

Avec tes yeux verts et tes petites tâches de rousseurs on te donnerait le bon dieu sans confession. Tu ressembles un peu a un enfant de cœur ou a un jeune homme tout juste adulte qui n’a encore rien connu.

Enfin cette impression disparait vite quand tu bouges ou quand tu souris. Tu déplaces ton corps comme un fauve le ferait. Ou un serpent. Tu aimes jouer sur ta façon de bouger et de sourire. Changer l’expression de ton visage pour séduire, pour plaire.

Le déguisement a toujours été ta passion tu aimes mettre des perruques pour changer la couleur de tes cheveux. Roux, rose, blanc rien ne te fait peur. Durant une longue partie de ta vie tu t’es servi de ton corps androgyne, de ton visage angélique pour séduire tes proies, pour les amener à faire ce que tu voulais. A une époque séduire en tant que femme marchait bien. De cette époque tu gardes une passion pour les talons et la dentelle.

Tu as toujours été passionné par la body modification. Tu trouves les tatouages, les piercings magnifiques et pourtant tu as toujours interdit a tout le monde de modifier ton corps. Avoir des marques de ce genre très peu pour toi. Le seul endroit que tu as laissé percer ce sont tes oreilles et tu en as des piercings. Des piercings qui changent selon ton humeur. Un simple percement d’oreille ne te fait pas vraiment peur. Mais tu gardes toujours sur toi deux boucles d’oreilles.





Personnalité



..
Orgueil… Avarice... Envie… luxure … Gourmandise... Colére... Paresse…

Ces défauts que l’on dit capital, tu les possèdes un peu comme tout à chacun en fait. Tu es orgueilleux, fier de ce que tu es, fier de ton statut. Fier d’être un vampire, fier d’avoir survécu encore et encore. Fier de ton apparence, Fier de ta richesse… Oui tu es Fier et tu le montres, tu détestes qu’un vulgaire vivant te regarde de haut ou qu’il ose te reprendre. Tu marches toujours la tête haute, tu aimes porter de belles choses. Tu aimes te montrer la où il est bon de se faire voir.

Avare, ce qui t’appartient.. T’appartient pas question de partager. Ton argent est ton argent. Tu es un peu grippe sous disons le franchement. Le moindre sous est important. Même si tu dépenses beaucoup pour toi-même. Au fond de toi tu te souviens de la faim, du froid, de l’envie qui te rongeait le ventre quand tu vois des personnes manger au chaud. Tu es un peu un collectionneur compulsif qui déteste se priver de ces trésors.

L’envie te ronge des fois quand tu vois des personnes avoir ce que tu ne possèdes pas. Tu es souvent jaloux, mais souvent cela passe. Parce que tu sais que tôt ou tard tu obtiendras ce que tu désires. Le temps n’est pas un problème pour toi. Tu es patient, tu peux rester des heures ou des jours a guetter ta proie. Ou autres choses. Comme une araignée tu attends que ce que tu désires s’approche de toi avant de t’en saisir.

Tu aimes la luxure, se laisser aller au plaisir entre les bras d’un autre, le dominer ou se laisser dominer. Le sexe est un plaisir que tu aimes faire désirer, se laisser aller trop vite ne te plait pas. Tu aimes faire attendre, faire monter le désir. Tu as déjà eu beaucoup d’expériences. Tu as goûter a toute sorte de jouissance. Mais sans jamais vraiment t’en lasser. Tu es un peu exhibitionniste choquer les gens est amusant... Et tu es totalement voyeur, c’est des plus plaisants que de voir des personnes se faire plaisir... Ou se faire torturer.

Parce que tu aimes en avoir plus toujours plus. Gourmand tu aimes gouter de nouvelles choses.. Tu ne peux te passer d’un bon repas, même si cela ne t’est pas essentiel. Tu es aussi gourmand niveau du sang toujours à boire plus qu’il n'est nécessaire, sentir ta proie s’évanouir et sentir son cœur battre sous la peur de mourir te procure un grand plaisir.

Et tu détestes que l’on te prive de quelque chose, ta colère est souvent contrôlée... Rentrée, tu n’aimes pas exploser, tu n’aimes pas crier, cela ne sert a rien. Mais tu as la rancune tenace, demande à ce jeune vampire qui t’a vexé il y a plus de cent ans. C’est que tu peux être inventif quand tu veux faire souffrir. Il n’y a pas beaucoup de choses qui te répugnent.

La paresse est peut être le pèché qui te marque le moins, quand tu es chez toi il est vrai que tu aimes être bien servi. Tu aimes que l’on fasse les choses à ta place. Mais dans la vie active tu es un homme qui aime que les choses soient bien faites et tu donnes tout ce que tu as. Un travail mal fait te met assez fortement en colère. Tu vas toujours au bout des choses que tu entreprends.

Tu n’as pourtant pas que des défauts. Ho non tu es travailleur. Et tu aimes apprendre, encore aujourd’hui a presque cinq cent ans, tu penses que rien ne vaut l’apprentissage. Apprendre de nouvelle façon de faire parler un coupable. De nouvelle façon d’ouvrir en deux un homme. Apprendre une nouvelle langue.

Tu as toujours appris vite d’ailleurs aujourd’hui tu parles plusieurs langues. Comme le français, l’anglais, le japonais, le chinois et un peu de latin. Sans oublier le néerlandais ta langue natale.

Tu es amateur d’art… Tu a un faible pour le chant et la sculpture. Tu as beaucoup chanté dans ta jeunesse et encore aujourd'hui tu aimes monter sur scène pour chanter.

Tu as appris il y a quelque années a tatouer parce que tu trouves que la peau humaine fait un magnifique tableau.

Mais par-dessus tout cela tu es un comédien, tu aimes te faire passer pour ce que tu n’es pas. Tu n’aimes pas montrer la profonde noirceur de ton âme et de ton cœur. Pourquoi se dévoiler tout de suite. Pour tout le monde tu es un homme joyeux et souriant… Un peu trop , même en chasse tu souris bien qu’a cet instant ton sourire est un peu plus sombre plus sadique.





Histoire




..
Enfant de putain. Enfant de rien. Tu ne connais pas ton père. Tu n’es même pas certain que celle que tu appelles mère soit bien celle qui t’a mis au monde. Tu es né dans les bas fond de la ville, la ou la noirceur est visible partout. Tu connais la valeur que les puissants accordent au peuple. Tu sais parfaitement que tu ne vaux pas grand-chose. Et pourtant tu aimes cette vie, tu aimes faire de petite course pour ta mère et ses amies. Tu aimes les voir sourire, tu aimes les aider a se préparer a recevoir leur client. Tu as vécu dans un monde de parfums et de robes. Combien de fois est-ce qu’une des filles de la maison t’a-t-elle vêtu en fille. Plus d’une fois.

Il faut dire que tu as toujours été très beau, presque trop. Ce n’est pas la saleté des rues qui aurait pu changer quelque chose. Tu chantais des fois dans les rues pour accompagner tel ou tel musicien de rue. C’est surement comme cela qu’un noble t’a remarqué. L’homme était un noble à s’amuser. Un noble amateur d’art. Tu devais sûrement être une oeuvre d'art pour lui. Quoiqu'il en soit, tu n’avais que huit ans quand tu es arrivé chez lui, ne soupçonnant pas une seule seconde que ta mère t'avait vendu à lui pour un peu de maille et avoir une bouche de moins à nourrir.

Le changement fut brutal, mais tu appris à t’adapter, comme toujours, s’adapter était la seule façon de survivre. Tu appris les bonnes manières. Tu appris à lire, à danser, et même à peindre. C’était un peu étonnant mais tu semblais absorber les notions assez facilement. Tu appris aussi a porter ces vêtements de femme que ton protecteur aimait tant. L’homme t’apprit à mentir, a te déguiser.

Tu fus présenté aux autres nobles comme la nièce de ton protecteur. Et tu eus ton petit succès. En grandissant tu fus de plus en plus invité par des hôtes importants. Tu avais pour but de les séduire, d’en apprendre le plus sur eux. Ces hommes souvent t’offraient des cadeaux fabuleux, ils t’entretenaient.

Et puis vint la demande en mariage de l’un d’eux. Demande que ton oncle accepta… Le mariage se fit en grande pompe et le verre de vin que tu offris a ton mari ce soir-la contenait un somnifère profond qui l’envoya dans les vapes. En fait tu le droguais à chaque fois qu’il voulait coucher avec toi. Jusqu’à ce que le mariage paraisse assez solide et que l’homme t’offre toute sa fortune.

Tu l’as tué de sang froid cet homme qui te dégoutait. Tu l’as tué ainsi que la bonne qui se trouvait dans son lit. Quel plaisir que de plonger le couteau dans son cœur de voir son visage se déformer. Quel plaisir que de tuer cette femme, que de la défigurer. Tu t’es déchaîné cette nuit la, évacuant la frustration que tu avais engrangée. Tu n’en pouvais plus de ces mensonges. Tu n’avais que seize ans a l’époque.

Tu fis passer le meurtre pour un cambriolage raté, et tu retournas chez ton oncle. Ou tu décidas de bruler le déguisement que tu avais porté. Et tu pleuras quand on vint t’annoncer la mort de ton mari. Magnifique comédie n’est pas ? Tu partis même à la campagne dans un petit château tout a fait confortable. La tu découvris la satisfaction de pouvoir faire ce que tu voulais. Plus d’oncle pour te surveiller, plus de mauvaise langue pour parler de ce que tu faisais.

Ici tes serviteurs pensaient que tu étais une fille qui se prenait pour un garçon. Qui montait a cheval comme un homme. Qui voulait apprendre le maniement du sabre. C’est aussi a cette époque que ton cœur battit vraiment pour la premiere fois. Ce fut la première fois que tu découvris l’amour.

Tu n’aurais pas du avouer ton secret a cet homme et pourtant tu le fis. Ce garçon d’écurie que tu admirais temps ne te repoussa pas. Au contraire. Du haut de tes dix sept ans tu croyais que l’amour durerait toujours. Oui tu l’aimais à la folie. Et tu penses que lui t’aimait aussi. Peut être mais tu n’as jamais eu à faire face a sa trahison puisque ton oncle le tua. Simplement comme cela parce que tu lui as dit que tu aimais un homme.

Au fond de toi quelque chose s’était brisé et tu juras que tu feras payer ton oncle. ce fut assez facile d’organiser une chasse à cours et de le faire chuter de cheval. Tu aurais pu le sauver en appelant les secours mais tu l’as juste regardé mourir lentement. Tu l’as regardé alors que son souffle se faisait plus court, plus lent. Une fois certain que l’homme était mort tu as fait galoper ta monture, trop vite, impudemment. Et tu t’es laissé tomber également.

Tout le monde a cru que l’animal qui avait fait tomber ton oncle, avait aussi fait peur a ton cheval et que tu étais tombé. Après cet accident tu es rentré en ville. Ou tu as continué à vivre comme une femme. Tu as continué a chanter pour plaire. Tu as un peu choqué la noblesse en t’habillant en homme pour chasser avec eux.

Bref tu vivais comme tu le voulais. Puis lors d’un bal tu l’as rencontré lui. Avec ces yeux sombres et son allure effrayante. Tu avais l’impression qu’il lisait jusqu’au fond de ton cœur, qu’il te mettait à nu. Qu’il t’hypnotisait. Tu t’es méfié, et pourtant tu t’es laissé séduire, tu l’as approché… Tu l’as touché.

Chacun de vos rendez vous se passait la nuit. Et vint le jour où tu posas pour lui, pour qu’il laisse une trace de toi sur le marbre. Tu as obéis quand il t’a demandé de te dévêtir. Il a juste souris quand il a vu ce que tu étais vraiment… Tu avais presque dix huit ans quand tu as connus le plaisir pour la seconde fois. Un plaisir intense, brutal. Tu te souviens parfaitement de la douleur quand les crocs s de l’homme on pénétrer ta peau. La première fois tu as crus à une hallucination. Et pourtant plus tu apprenais à connaitre l’homme plus… Tu le trouvais magnifique.

Et pour tout dire tu ne fus pas vraiment surpris quand il t’apprit qu’il n’était pas vraiment humain. Mais qu’il avait besoin de sang pour vivre. Ce fut pour toi un plaisir que de le lui offrir. Pendant un an tout se passa assez bien.

Et puis... Viens la morsure, pas celle de ton amant. Mais celle d’un renard, d’un fichu renard que tu croyais mort… Un fichu renard qui plongea ses dents dans ta peau, qui fit couler le sang. Au début il ne se passa pas grand-chose. Une simple douleur au niveau du bras. Une douleur que tu oublias rapidement. Tu interdis même à ton amant d’utiliser son sang pour quelque chose d’aussi insignifiant.

Sauf qu’un mois plus tard tu changeas, tu deviens nerveux, anxieux. Tu voyais des complots partout. Tu ne cessais de t’inquiéter parce que ton amant te trompait… Tu faisais cauchemar sur cauchemars. Tu avais l’impression de devenir fou, de sombrer dans la folie. Tu avais chaud, tu avais mal. Ton corps était douloureux. Et puis il y avait cette peur de l’eau. Tu hurlais quand quelqu’un osait mettre une serviette humide sur ton front. Je ne cessais de pleurer sans pouvoir retenir les larmes. La salive envahissait ta bouche.

Tu le savais, au fond de toi tu savais que tu ne survivrais pas. Tu le savais…

Et tu suppliais, tu suppliais ton amant … De te sauver. Tu ne voulais pas mourir..

Et tu mourus pourtant.

Oui tu mourus... Par les crocs de ton amant, tu mourus par sa faute. Tu mourus et pourtant tu ressentais une faim intense, une faim dévorante. C’est surement pour cela que tu n’as pas hésité à boire ce qu’il t’offrait.

La suite est un peu plus brumeuse, tu te souviens juste t’être réveillé avec la faim au ventre. Une faim immense, presque autant qu’au début de ta vie… Une faim qui ronge les entrailles…

Et puis viens l’odeur... Celle de la peur… De l’angoisse, et surtout celle du sang. Un sang qui pulse… Ton regard noir se posa rapidement sur l’humain… Un humain au cœur battant. On ne peut pas dire que ton premier repas fut des plus délicat, ni que tu ne te régalas pas. Le sang qui coulait dans ta bouche te rendait comme fou.

Une folie qui dura un peu plus de trois mois. Tu as toujours détesté perdre le contrôle de ton esprit. Ce ne fut pas facile mais tu détestais ne pas être parfais, et tuer proprement ou simplement boire sans tuer était une condition pour sortir à nouveau.

Vous avez du déménager après ta maladie. Avec ton sire tu commenças une vie de voyage qui te plu assez. Vous avez visité plusieurs cours d’Europe. Tu te faisais passer soit pour un jeune homme ou une jeune femme. Tu séduisais par ton sourire et par tes manières. C’était amusant aussi de sortir le soir et de te faire passer pour une putain. Plus le temps passait plus tu trouvais les humains faible et sans intérêt.

Pourtant tu te passionnais des fois pour un métier. Comme celui de bijoutier ou parfumeur. Comme celui de soldat ou de cavalier. Tu as toujours aimé apprendre et cette immortalité te permettait d’être ce que tu voulais. Tu t’es même intéressé a la médecine surtout quand tu pouvais disséquer les corps pour vérifier les organes. Tu vécus principalement en France et au Pays bas.

Oui tu as continué à vivre sans vraiment te stabiliser, ton sire était ton seul point d’ancrage. Il te remettait des fois sur le droit chemin quand tu te laissais un peu trop aller. Il faut dire que tu aimais tuer, et pas doucement. Certaine de tes victimes ne ressemblait plus a grand-chose. Mais qu’importe.

Le temps passait et l’Europe commença à t’ennuyer. Tu a vus la premier guerre et trouver cela tellement idiot. Tu y as participé parce que ton sire le voulait. Mais pour tout avouer tu n’étais pas vraiment motiver. Tu à juste jouer les espions, tu à juste écouter. L’Europe t’ennuyais vraiment alors un jour tu es partis sans parler a personne. Tu es pourtant resté jusqu’à la fin de la seconde guerre mondial.

Ton sire a aussi fini par se lasser et vous avez commencé à voyager. D’abords la Russie, c’étais un endroit qui t’amusais assez, et tu pris plaisir à te fondre dans les activités un peu plus sombre. Comme la prostitution ou l’espionnage. Tu t’amusas même pendant cinq ans à vendre ton corps. Juste pour voir ce que cela faisait.

Puis à nouveau tu te lassas et tu repris le chemin. Tu fis un petit arrêt en chine. Ou ton sire te présenta encore une fois d’autres vampires. Mais la chine si elle te plaisait ne te satisfaisait pas tout à fait. Tu continuas donc ton voyage jusqu’à tomber au japon.

Tu n’aurais sut dire pourquoi le pays te plut tellement. Mais tu en es tombé comme amoureux. Comme souvent tu te déguisas, cheveux noir et lentille noire. Ta taille n’était pas tellement éloignée de celle des habitants. Pendant un certain temps tu ne fis pas grand-chose, juste apprendre la langue. Mais aussi à écrire et a parler. Tu t’imprégnas de la culture auprès d’un vieux vampire encore plus vieux que ton sire. Apprendre à comprendre le passé, les ancienne pratique te plaisait beaucoup. Le vampire était un vieux samouraï qui vivait encore dans le passé. Mais il t’apprit une autre manière de te battre, une autre manière de manier les armes.

Quand tu te sentis prés, tu entras dans le monde actif. Tu eu plusieurs commerce d’abord une boutique de vêtements de luxe, puis une bijouterie. Mais surtout tu te servis de ton apparence androgyne pour devenir une des rares Geisha étrangère. Oui oui une geisha ; Caché le fait que tu étais un homme ne te causais pas beaucoup de problème et surtout il te suffisait d’hypnotiser les clients un peu trop curieux. Tu aimais beaucoup apprendre tout ce que tu pouvais. Le maquillage te permettait aussi d’un peu cacher le fait que tu ne vieillissais pas vraiment.

Ici tu te faisais appeler Anju de ton nom de Geisha. Tu a même réussis à obtenir la tête de l’okiya et a en hérité. A partir de cet instant tu ne te montrais plus souvent. Restant cacher derrière un paravent pour parler aux filles. Quand vins les années deux milles, tu t’intéressas au monde des idoles et des maid café. Cela t’amusait de voir les gens devenir fou pour des filles ou de garçons qu’il ne pourrait jamais avoir. Tu ouvris donc un maid café avec un petit coin spécial pour les vampires vivant ici. Ou il pouvait croquer assez facilement de jeune idiot qui pensaient que les vampires n’étaient qu’une mode.

Avant que te puisse vraiment te lasser, les tiens firent un coup d’éclat, que tu applaudis à deux mains. Surtout quand tu vis l’un des ministres Coréens tuer en public le président. Tu ne pus qu’applaudir à deux mains. Tu participas ensuite activement a la guerre. Ton sire lui était parti rejoindre un de ces amis en Europe.

Par contre une chose t’ennuyas si les humains tombait en esclavage tu ne pourris plus goutter a la cuisine de ton chef favoris. Et cela c’étais quelque chose qui t’énervais .C’est pour cela que tu le changeas. Juste pour ne pas le perdre, pour continuer à manger ce qu’il te cuisinait. Il ne fallait pas perdre une chez aussi doué. Et puis ces sushi t’aurais manqué.

Une fois l’esclavage lancer et surtout que l’élevage d’humains fut prit. Tu t’amusas à demander l’autorisation pour élever quelques spécimens. Tu eu donc l’agrément comme centre de dressage. Tu éduquas les jeunes garçons, le plus souvent presque aussi androgyne que toi, tu les élevas pour qu’ils deviennent de petit otoko geisha. C’est-à-dire des hommes Geisha. C’était amusant de les former, surtout de les vendre à un prix assez élevé.

Au début tu étais le seul à travailler au dressage, mais tu pris le temps de former deux esclaves avec plus de soin que d’autre. Un que tu transformas alors qu’il avait a peine dix huit ans. Comme ton cuisinier tu lui appris à vivre avec sa nature vampirique. Tu lui appris avec soin à s’occuper de tes autres pensionnaires. Quelques années plus tard il transforma lui-même un autre humain choisit sur le volet.

Entre temps tu choisis d’ouvrir une chaine de restaurant haut de gamme, grâce à ton chef et surtout au jeune qu’il formait. C’étais amusant que de goute ce qu’il cherchait à faire. Quand vinrent les hybrides tu en commandas un ou deux pour voir s’il pouvait faire de bons esclaves. Et cela t’amusa un peu. Tu a d’ailleurs envoyer deux esclaves de ta formation a ton sire qui les partagea la bas au Amérique.

Mais le dressage t’ennuyais, tu t’intéressas un peu en 2200 au dressage d’esclave de combat. Et cela alluma en temps l’envie de te battre, de lutter à nouveau de sentir ton sang bouillir dans la chasse. Tu a toujours pris toujours pris des cours de défense, tu a toujours aimer te battre mais... Tu n'avasi pas trop envie de prendre la nationalité Japonaise pour entrer dans la milice. Tu décida donc de partir pour l’Europe..

Ton restaurant et ton centre de dressage furent légué à tes infants. Bon tu gardais pas mal de part dans leur entreprise. Mais tu voulais te consacrer entièrement à ton travail de milicien, a ta formation au début. Tu eu d'ailleurs de bon résulta et ensuite de bon. états de service était bon, un élément sure et obéissant. Réfléchit et combatif.

Il y a un peu plus de trois ans, ton sire te demanda de le rejoindre en Amérique, et pour le plaisir de changer un peu d’environnement tu acceptas. L’Amérique fut une découverte pour toi. Tu demandas surtout ton transfert d’une milice à l’autre, de l’Europe en Amérique.. Tu savais bien en partant que cela ne serais pas vraiment facile. Qu’il faudrait le temps que tu t’adapte.

Mais quand tu te donne un but tu te donne à fond. C’était amusant de voir certain jeune vampire te prendre de haut. Les pauvres chéris. Mais comme toujours tu note dans ton esprit les choses qui te fâche. La vengeance arrive toujours un jour ou l’autre. Et plus elle mûrit plus elle est douce.

Tu étais tranquillement chez toi quand l'attenta du début 2358 se déroula... Et tu sentis la mort de ton sire… Ce fut un choc plus grand que tu ne le pensais. Toi qui croyais que tes sentiments pour lui avaient été érodés avec l’âge. Sa mort te fait simplement ressentir un grand vide que seule la vengeance pourra satisfaire.

Revenir en haut Aller en bas
https://gaiadestiny.actifforum.com
 
faas
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Gaia monde de légende :: Fiche de Dom :: Fiche sauvegardée-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser